Neue zugelassene Indikationen gemäss Medienmitteilung der Zulassungsinhaberin MSD Merck Sharp & Dohme:
Nouvelles indications autorisées selon le communiqué de presse du titulaire de l'autorisation MSD Merck Sharp & Dohme (texte français après le texte allemand):
•Die Zulassung basiert auf den Ergebnissen der Phase-III-Studie KEYNOTE-564: einestatistisch signifikante Verbesserung des Gesamtüberlebens (OS) und des krankheitsfreienÜberlebens (DFS).2
•Die NCCN Guidelines empfehlen den Einsatz von KEYTRUDA® als adjuvante Therapie beimoperablen ccRCC in bestimmten Stadien.3
•Die ESMO Guidelines empfehlen, den Einsatz von KEYTRUDA® als adjuvante Therapie beimoperablen ccRCC für bestimmte Risikogruppen in Betracht zu ziehen.4
Luzern, 5. September 2024 - MSD (in den USA bekannt als Merck & Co., Inc, Rahway, NJ, USA) gibt bekannt, dass das Schweizerische Heilmittelinstitut Swissmedic die Zulassung für KEYTRUDA® (Pembrolizumab), MSDs Anti-PD-1-Therapie, als Monotherapie zur adjuvanten Behandlung von erwachsenen Patienten mit klarzelligem Nierenzellkarzinom mit intermediär-hohem oder hohem Rezidivrisiko nach Nephrektomie oder nach Nephrektomie und Resektion metastasierter Läsionen.1
In der Schweiz erkranken jährlich mehr als 1‘000 Menschen an Nierenkrebs.5 Das Nierenzellkarzinom (RCC) macht etwa 90 % aller Nierenkrebserkrankungen aus, wobei das klarzellige Nierenzellkarzinom (ccRCC) etwa 80 % der bösartigen Nierentumore bei Erwachsenen darstellt.4
Die Standardbehandlung für ccRCC besteht in der Durchführung einer partiellen oder radikalen Nephrektomie. Dennoch kommt es bei 42% der Patienten nach der Operation zu einem Wiederauftreten der Krankheit, und viele dieser Fälle gehen mit Fernmetastasen einher, was die Lebenserwartung der Betroffenen erheblich verkürzt.6
Die neu zugelassene Indikation ermöglicht diesen Patienten in der Schweiz den Zugang zu einer adjuvanten Immuntherapie, um ihr Rezidiv- und Sterberisiko nach der Operation zu verringern.1
Über die Zulassungsstudie KEYNOTE-5642
Die Zulassung basiert auf den Daten der KEYNOTE-564 (ClinicalTrials.gov NCT03142334), eine multizentrische, randomisierte, doppelblinde, placebokontrollierte Phase-III-Studie, in der Pembrolizumab im Vergleich zu Placebo bei Patienten mit Nierenzellkarzinom mit klarzelliger Komponente und intermediär-hohem oder hohem Risiko für ein Rezidiv untersucht wurde.2 Der primäre Endpunkt war das DFS (krankheitsfreies Überleben), gemäss Beurteilung des Prüfarztes.2 Ausgewählte sekundäre Endpunkte waren das OS (Gesamtüberleben, zentraler sekundärer Endpunkt) und die Sicherheit.2
An der Studie nahmen 994 Patienten mit Nierenzellkarzinom mit klarzelliger Komponente und intermediär-hohem oder hohem Risiko für ein Rezidiv teil, die zuvor keine systemische Therapie erhalten hatten und bei denen eine Nephrektomie, mit oder ohne Metastasektomie, durchgeführt wurde.6 Sie wurden im Verhältnis 1:1 randomisiert, um entweder Pembrolizumab (in einer Dosis von 200 mg) oder Placebo, intravenös einmal alle drei Wochen für bis zu 17 Zyklen (etwa 1 Jahr) zu erhalten.2 Die Behandlung wurde bis zu einem Jahr oder bis zum Wiederauftreten der Krankheit oder inakzeptabler Toxizität fortgesetzt.2 Die Patienten wurden in den ersten 2 Jahren nach der Randomisierung alle 12 Wochen einer Bildgebung unterzogen, danach von Jahr 3 bis 5 alle 16 Wochen und danach jährlich alle 24 Wochen.6
Die wichtigsten Daten der Zulassungsstudie KEYNOTE-5642
Die Wirksamkeitsendpunkte wurden in der Intention-to-Treat-Population (alle Teilnehmer, die randomisiert wurden) bewertet. Nach einer medianen Nachbeobachtungszeit von 57.2 Monaten (Spanne: 47.9–74.5 Monate), Datenschnitt 15.09.2023, zeigte die Analyse der Studie KEYNOTE-564 unter Pembrolizumab im Vergleich zu Placebo:
•eine statistisch signifikante Reduktion des Sterberisikos (OS) um 38 %(HR = 0.62 [95 %-KI, 0.44 – 0.87], p = 0.005) unter Pembrolizumab im Vergleich zu Placebo.
•eine Reduktion des Rezidiv- oder Sterberisikos (DFS) um 28 %(HR = 0.72 [95 %-KI, 0.59 – 0.87]) unter Pembrolizumab im Vergleich zu Placebo.
Sicherheit in der KEYNOTE-5642
Die Analyse der Sicherheit in der Studie KEYNOTE-564 erfolgte in der behandelten (as-treated, alle Teilnehmer, die randomisiert wurden und mindestens eine Dosis Pembrolizumab oder Placebo erhielten) Population bewertet. Das Sicherheitsprofil entsprach dem bekannten Sicherheitsprofil von Pembrolizumab als Monotherapie und es traten keinen neuen Risikosignale auf.
Die häufigsten behandlungsbedingten unerwünschten Ereignisse (bei ≥ 5 % der Patienten) waren Müdigkeit, Juckreiz, Hypothyreose, Diarrhö, Ausschlag, Hyperthyreose, Arthralgie, Übelkeit, Myalgie und Asthenie.7
Über MSD’s Pembrolizumab (KEYTRUDA®)
Pembrolizumab ist ein PD-1 (Programmed Cell Death 1 Protein)-Inhibitor, der die Fähigkeit des Immunsystems verstärken kann, Tumorzellen zu entdecken und zu bekämpfen. Pembrolizumab ist ein humanisierter monoklonaler Antikörper, welcher die Wechselwirkung zwischen PD-1 und dessen Liganden PD-L1 und PD-L2 blockiert und so die T-Lymphozyten aktiviert, wodurch sowohl Tumorzellen als auch gesunde Zellen angegriffen werden können. KEYTRUDA® wird als Infusion verabreicht.
Referenzen am Schluss
Swissmedic accorde des autorisations pour le pembrolizumab en tant que monothérapie dans le traitement adjuvant du carcinome rénal à cellules claires chez l’adulte présentant un profil de risque intermédiaire-élevé ou élevé après une néphrectomie ou après une néphrectomie et une résection des lésions métastatiques1
•L'autorisation repose sur les résultats de l'étude de phase III KEYNOTE-564: uneamélioration statistiquement significative de la survie globale (OS) et de la survie sansmaladie (DFS).2
•Les directives du NCCN recommandent l'utilisation de KEYTRUDA® comme traitementadjuvant du ccRCC opérable pour certains stades.3
•Les directives de l'ESMO recommandent d'envisager l'utilisation de KEYTRUDA® commetraitement adjuvant du ccRCC opérable pour certains groupes de risque.4
Lucerne, le 5 septembre 2024 - MSD (connu aux États-Unis sous le nom de Merck & Co., Inc., Rahway, N.J., USA) annonce que l’Institut suisse des produits thérapeutiques Swissmedic a autorisé KEYTRUDA® (pembrolizumab), le traitement anti-PD-1 de MSD, en tant que monothérapie dans le traitement adjuvant du carcinome rénal à cellules claires chez l’adulte présentant un profil de risque intermédiaire-élevé ou élevé après une néphrectomie ou après une néphrectomie et une résection des lésions métastatiques.1
En Suisse, plus de 1 000 personnes sont atteintes chaque année d'un cancer du rein.5 Le carcinome à cellules rénales (RCC) représente environ 90 % de tous les cancers du rein, et le carcinome rénal à cellules claires (ccRCC) représente environ 80 % des tumeurs malignes du rein chez les adultes.4
Le traitement standard du ccRCC consiste en une néphrectomie partielle ou radicale. Néanmoins, 42 % des patients subissent une récidive après l'opération, et nombre de ces cas s'accompagnent de métastases à distance, ce qui réduit considérablement l'espérance de vie des personnes concernées.6
La nouvelle indication autorisée permet à ces patients en Suisse d'avoir accès à une immunothérapie adjuvante afin de réduire leur risque de récidive et de décès après l'opération.1
À propos de l’étude pivot KEYNOTE-5642
L'autorisation repose sur les données de l'étude KEYNOTE-564 (ClinicalTrials.gov NCT03142334), une étude de phase III multicentrique, randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo, qui a évalué le pembrolizumab par rapport à un placebo chez des patients atteints de carcinome rénal à cellules claires présentant un risqué de récidive intermédiaire élevé ou élevé.2 Le critère d'évaluation primaire était la DFS (survie sans maladie), selon l'évaluation de l'investigateur.2 Une
sélection de critères d'évaluation secondaires était la OS (survie globale, critère secondaire central) et la sécurité.2
L'étude a porté sur 994 patients atteints d'un carcinome rénal à cellules claires avec un risque de récidive intermédiaire élevé ou élevé, qui n'avaient pas reçu de traitement systémique auparavant et qui avaient subi une néphrectomie, avec ou sans métastasectomie.6 Ils ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour recevoir par voie intraveineuse soit du pembrolizumab (à une dose de 200 mg), soit un placebo, une fois toutes les trois semaines, pendant un maximum de 17 cycles (environ un an).2 Le traitement a été poursuivi jusqu'à un an ou jusqu'à la réapparition de la maladie ou d'une toxicité inacceptable.2 Les patients ont subi une imagerie toutes les 12 semaines pendant les 2 premières années suivant la randomisation, puis toutes les 16 semaines de l'année 3 à l'année 5, et ensuite toutes les 24 semaines chaque année.6
Les données les plus importantes de l'étude d'homologation KEYNOTE-5642
Les critères d'efficacité ont été évalués dans la population en intention de traiter (tous les participants qui ont été randomisés). Après une durée médiane de suivi de 57.2 mois (intervalle : 47.9-74.5 mois), date butoir 15/09/2023, l'analyse de l'étude KEYNOTE-564 sous pembrolizumab par rapport au placebo a montré:
•une réduction statistiquement significative de 38 % du risque de décès (OS) (HR = 0.62 [IC à 95 %, 0.44 – 0.87], p = 0.005) sous pembrolizumab par rapport au placebo.
•une réduction de 28 % du risque de récidive ou de décès (DFS) (HR = 0.72 [IC à 95 %, 0.59 – 0.87]) sous pembrolizumab par rapport au placebo.
Sécurité dans l’étude KEYNOTE-5642
L'analyse de la sécurité dans l'étude KEYNOTE-564 a été évaluée dans la population traitée (as-treated, tous les participants qui ont été randomisés et ont reçu au moins une dose de pembrolizumab ou de placebo). Le profil de sécurité correspondait au profil de sécurité connu du pembrolizumab en monothérapie et aucun nouveau signal de risque n'est apparu.
Les événements indésirables liés au traitement les plus fréquents (chez ≥ 5 % des patients) ont été la fatigue, le prurit, l'hypothyroïdie, la diarrhée, le rash, l'hyperthyroïdie, l'arthralgie, les nausées, la myalgie et l'asthénie.7
À propos du pembrolizumab de MSD (KEYTRUDA®)
Le pembrolizumab est un inhibiteur de la PD-1 (Programmed Cell Death 1 Protein), qui peut renforcer la capacité du système immunitaire à déceler et à combattre les cellules tumorales. Le pembrolizumab est un anticorps monoclonal humanisé qui bloque l’interaction entre la PD-1 et ses ligands PD-L1 et PD-L2 et active par là les lymphocytes T, ouvrant ainsi la voie à une attaque aussi bien des cellules tumorales que des cellules saines. KEYTRUDA® est administré en perfusion.
Referenzen/Références
1. Information professionnelle de Keytruda® (Pembrolizumab), www.swissmedicinfo.ch; État desautorisations 08/2024
2.Choueiri TK, Tomczak P, Park SH, et al. Overall Survival with Adjuvant Pembrolizumab in Renal-Cell Carcinoma. N Engl J Med. 2024;390:1359 – 1371. With Supplementary Appendix.
3.Referenced with permission from the NCCN Clinical Practice Guidelines in Oncology (NCCN Guidelines®)for Kidney Cancer Version 1.2025 — July 1, 2024. © National Comprehensive Cancer Network, Inc. 2024.All rights reserved. Accessed 8 July 2024. To view the most recent and complete version of the guidelines,go online to NCCN.org.
4.Powles T, Albiges L, Bex A, et al., on behalf of the ESMO Guidelines Committee. Renal cell carcinoma:ESMO Clinical Practice Guideline for diagnosis, treatment and follow-up. Ann Oncol. 2024 May 22:S0923-7534(24)00676-8. https://doi.org/10.1016/j.annonc.2024.05.537.
5.Office fédéral de la statistique. Organe national d’enregistrement du cancer. Cancer, nouveaux cas et décès 2016-2020. Publié le 12.12.2023 https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/statistiques/sante/etat-sante/maladies/cancer/indicateurs-types.assetdetail.29145339.html, consulté le 15.8.2024.
6.Choueiri TK, Tomczak P, Park SH, et al.; for the KEYNOTE-564 investigators. Adjuvant pembrolizumab after nephrectomy in renal-cell carcinoma. N Engl J Med. 2021;385(8):683 – 694.doi:10.1056/NEJMoa2106391
7.Powles T, Tomczak P, Park SH, et al. Pembrolizumab versus placebo as postnephrectomy adjuvant therapy for clear cell renal cell carcinoma (KEYNOTE-564): 30-month follow-up analysis of a multicentre,randomised, double-blind, placebo-controlled, phase 3 trial. Lancet Oncol. 2022;23(9):1133 – 1144.doi:10.1016/S1470-2045(22)00487-9.
8.www.clinicaltrials.gov, consulté le 15.8.2024
Des copies des publications d’études peuvent être demandées au besoin à l’adresse suivante: dpoc.switzerland@msd.com.